en Hébreu puis en Français
on peut aussi le chanter à la fin de l’office surtout à l’occasion de veille de fêtes
Texte au choix : א, ב ou ג p57
debout
le petit carton avec les bénédictions est dans la téba
1 ou 2 psaumes au choix en lecture alternée entres p60 et p69. On peut également lire ou même chanter le psaume29 p70-71, mais nous l’utilisons habituellement pour la procession de la rentrée la Torah.
p74-75 en Français (92 en lecture alternée, 93 tous ensembles) ou chantés en Hébreu.
Invitation à la prière en Français puis en Hébreu (Debout). 1ère bénédiction partiellement ou entièrement en Hébreu. Si en entièrement en hébreu on continue par le texte en Français p76, sinon א, ב ou ג ; ce sont 3 traductions ou "équivalents" de la première bénédiction.
C’est le même principe pour la seconde bénédiction p78-79.
Debout
Chéma Israël est chanté une fois seul par l’officiant, puis tous ensemble. Le
deuxième paragraphe traditionnel est remplacé par le texte א ou A, soit
par l'assemblée
soit par une personne de l'assemblée, souvent un enfant qui prépare sa bar/bat
mitzvah. Occasionnellement, on peut lire ou relire la traduction en Français
d'une partie du Chéma en lecture alternée (1er
ou 3ème paragraphe).
Texte א ou ב puis Mi Khamokha (on pourrait faire les versets en alternance : officiant/assemblée)
on poursuit p86-87 :
Hachkivenou, puis texte א
ou ב, puis bénédiction « Aporess Souccath
Shalom » p86
Vechamerou/Kaddich p88 : Debout. Ne pas oublier d’ajouter la phrase au milieu les veilles de fêtes de pèlerinage (Souccoth, Pessa’h, Chavouot).
p90-95
Après première page en Hébreu, on peut alterner Français/Hébreu au gré de
l’humeur, mais il est habituel de toujours chanter en Hébreu la bénédiction qui
conclue le paragraphe. Ne pas oublier les ajouts spécifiques à l’occasion de
certaines fêtes.
On termine avec l’avant dernier paragraphe silencieusement, puis le dernier en Français repris par Ossé Chalom.
Si c’est une veille de fête ou de Roch H’odech, alors il faut faire le Hallel (un Hallel court pour les offices du soir) : bénédiction en haut p134-135 puis p140-142 chanté en Hébreux, sauf dernier paragraphe p143 en Français.
Les jours de fêtes et Hol Hamoed (Chabbath au cours des fêtes durant plusieurs jours (Pessa’h, Hanoukah)) il y a également des ajouts spécifiques p178-200.
Après Pessa’h on fait le décompte de l’omer (p182).
A l’occasion du Chabbath précédent Roch H’odech, on fait l’annonce du nouveau mois et la bénédiction pour le nouveau mois (p153 avant dernier paragraphe) vers le bas.
Sermon/Derasha ou autre intervention.
Si l’office est suivi d’un repas
communautaire, on peut reporter le kiddouch après l’office avant le repas
proprement dit.
Autrement, on fait le kiddouch sans le Yom Achichi (qui a déjà été dit
pendant la Amidah), et on profite de l’occasion pour bénir les enfants que
l'on fait monter sur la téba avant de commencer ; on trouve la bénédiction
sacerdotale en bas des pages 130-131, en Français puis en Hébreu.
Début en Hébreu, puis en Hébreu ou Français et conclusion en hébreu (Venéémar)
Avant de commencer à lire l'introduction au kaddich, on demande aux membres
de l'assemblée qui ont des noms à rappeler de monter à la téba.
Introduction en francais et rappel des noms, puis lecture ou cantilation du
kaddich avec ceux qui sont montés.
Au choix entre p206-209 ou Adom Olam en particulier les fêtes ou veilles de fêtes
Bénédiction sacerdotale en bas des pages 130-131, en Français puis en Hébreux. Cette bénédiction peut être introduite par un rappel de la spécificité du jour (Fête) ou un souhait ou une prière particulière lié à l'actualité de la communauté ou du monde : appel à la paix, à la tseddaka, ou appel de bénédictions plus particulières sur un/e bar/bat mitzvah, un nouveau né, etc.